Télescope monoculaire Celestron C-52223 – UPCLOSE 20-60 x 60 mm – 45° Longue Vue

L’origine du télescope monoculaire

Le télescope monoculaire, également connu sous le nom de monoculaire, est une lunette de visée optique qui utilise un seul objectif pour agrandir les objets éloignés. L’origine du télescope monoculaire remonte au début du XVII e siècle, lorsque les premiers télescopes ont été inventés.

Le crédit de l’invention du télescope revient généralement à deux personnes : l’astronome italien Galilée Galilei et le fabricant de lunettes néerlandais Hans Lipperhey. Cependant, il est difficile de déterminer avec certitude qui a inventé le télescope en premier. Les premiers télescopes étaient des instruments de longueur considérable, avec des objectifs de plusieurs pouces de diamètre. De même, il est difficile de déterminer avec précision quelle société a créé et commercialisé en premier le télescope monoculaire, car cette invention a évolué au fil du temps et impliquait de nombreux inventeurs et fabricants.

Cependant, il est connu que la société allemande Carl Zeiss AG a joué un rôle important dans le développement et la production de télescopes monoculaires de haute qualité au XIX e siècle. Carl Zeiss a commencé à produire des télescopes en 1846 et a rapidement acquis une réputation pour la qualité de ses instruments optiques. La société a continué à développer de nouveaux modèles de télescopes, y compris des monoculaires, tout au long du XIX e siècle. D’autres fabricants de télescopes monoculaires de renom incluent la société suisse Swarovski Optik, qui a commencé à produire des monoculaires en 1950, et la société japonaise Nikon, qui a commencé à produire des monoculaires dans les années 1980. Cependant, au fil du temps, des télescopes plus petits et plus portables ont été développés, ce qui a conduit à l’invention du télescope monoculaire.

Aujourd’hui, de nombreuses entreprises produisent des télescopes monoculaires pour une variété d’applications, ils sont souvent utilisés pour l’observation des oiseaux, la chasse, la randonnée, la surveillance, la sécurité, la visualisation des événements sportifs et des concerts.

Qui est Celestron ?

Celestron est une entreprise américaine fondée en 1960 qui se spécialise dans la fabrication de télescopes, de jumelles, de microscopes et d’autres instruments d’observation. Elle est basée en Californie, aux États-Unis.

La société est largement reconnue comme l’un des principaux fabricants de télescopes grand public et de matériel d’observation astronomique, offrant une large gamme de produits pour tous les niveaux d’expertise et tous les budgets. Les produits Celestron sont populaires auprès des astronomes amateurs et professionnels, ainsi que des chasseurs, des randonneurs et des amateurs de plein air en général.

En plus de sa gamme de télescopes, Celestron propose également des accessoires pour télescopes, tels que des oculaires, des filtres et des adaptateurs pour appareils photo ou smartphone, ainsi que des logiciels d’astronomie et des livres éducatifs pour aider les utilisateurs à mieux comprendre le ciel nocturne.

Celestron est également connue pour son innovation dans l’industrie des télescopes, et a été la première entreprise à introduire sur le marché un télescope Schmidt-Cassegrain à un prix abordable pour les astronomes amateurs. La société continue d’innover avec de nouvelles technologies telles que la connectivité Wi-Fi pour les télescopes, permettant aux utilisateurs de contrôler leur télescope à partir de leur smartphone ou de leur tablette ou encore avec la technologie StarSense qui permet un alignement automatique des télescope

La société est respectée dans l’industrie pour sa qualité optique, sa fiabilité, sa facilité d’utilisation et son excellent service client. En 2020, la société a été acquise par le groupe chinois Synta Technology Corporation, qui détient également la marque Sky-Watcher.

Les principaux critères de comparaison d’un télescope monoculaire

La visée monoculaire est une méthode de visée utilisée pour observer une image ou un objet à distance et implique l’utilisation d’un seul œil, plutôt que les deux yeux utilisés dans la visée binoculaire. Elle ne permet pas d’utiliser la vision stéréoscopique des deux yeux pour percevoir les distances et les perspectives, donc elle ne nécessite pas de positionner correctement les deux yeux et peut être plus confortable pour les personnes portant des lunettes.

La visée monoculaire permet généralement d’obtenir une image plus nette et plus stable qu’avec les deux yeux mais elle est souvent utilisée en conjonction avec un trépied pour une observation plus stable et confortable. Elle peut également être utilisée en combinaison avec un smartphone ou un reflex pour prendre des photos ou des vidéos de l’objet observé.

Lors de l’achat d’un télescope monoculaire, il y a plusieurs critères de comparaison importants à prendre en compte :

  1. Grossissement : le grossissement est l’agrandissement de l’image observée par rapport à sa taille réelle. Le grossissement peut varier en fonction du modèle et selon votre budget, mais idéalement pour la plupart des utilisations, il faut convenir d’un grossissement situé entre 60x et 100x.
  2. Diamètre de l’objectif : le diamètre de l’objectif détermine la quantité de lumière qui entre dans le télescope. Plus le diamètre est grand, plus le télescope sera en mesure de collecter de lumière et de produire des images plus lumineuses et plus nettes.
  3. Champ de vision : le champ de vision est la taille de la zone observée à travers le télescope. Un champ de vision plus large est préférable pour observer des objets en mouvement ou pour une vue panoramique.
  4. Distance de mise au point : la distance de mise au point détermine la distance minimale ou maximale à laquelle le télescope peut être utilisé pour une observation claire.
  5. Qualité optique : la qualité de l’optique détermine la clarté et la netteté de l’image produite par le télescope. Il est important de vérifier la qualité des lentilles et des prismes pour s’assurer d’obtenir une image de qualité.
  6. Taille et poids : la taille et le poids du télescope peuvent varier en fonction du modèle et peuvent influencer la portabilité et l’ergonomie.
  7. Accessoires : certains télescopes monoculaires peuvent être équipés d’accessoires tels que des trépieds, des adaptateurs pour smartphone, des housses de transport et des sangles de cou.

Le télescope Celestron C-52223 – UPCLOSE 20-60 x 60 mm – 45° Longue Vue

Le télescope Celestron C-52223 – UPCLOSE est en réalité une longue vue ou une lunette terrestre conçue pour l’observation terrestre et la nature. Voici ses principales caractéristiques et fonctions :

  • Grossissement variable de 20 à 60x, permettant une observation détaillée à différentes distances.
  • Diamètre de l’objectif de 60 mm, offrant une grande quantité de lumière pour une image lumineuse et claire.
  • – Présence d’un prisme de type K9 pour une qualité optique supérieure.
  • Traitement entièrement multicouche (FMC) sur les lentilles de l’objectif pour une transmission de lumière maximale et une qualité d’image optimale
  • Angle d’observation de 45 degrés pour un confort d’observation accru.
  • Distance minimale de mise au point de 8.8 mètres, permettant l’observation des objets à une distance relativement proche.
  • – Champ de vision à 1000 m d’environ 43.7 mètres à 1000 mètres à son réglage le plus bas et d’environ 22.7 mètres à 1000 mètres à son réglage le plus élevé.
  • Corps en caoutchouc résistant pour une prise en main confortable et antidérapante.
  • – Livré avec un étui de transport souple et un étui de transport rigide pour faciliter le transport et le stockage.
  • Trépied : Le Celestron C-52223 – UPCLOSE est livré avec un trépied robuste qui assure une stabilité pour l’observation.

En résumé, le Celestron C-52223 – UPCLOSE 20-60 x 60 mm – 45° Longue Vue est principalement conçu pour l’observation terrestre, mais il peut également être utilisé pour observer les objets célestes tels que la Lune et les planètes, bien qu’il ne soit pas idéal pour l’astronomie en raison de son faible grossissement et de son petit diamètre d’objectif. Ce produit est destiné aux débutants ou aux utilisateurs occasionnels qui cherchent une lunette terrestre abordable et facile à utiliser.

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Détail des spécifications du Celestron C-52223 – UPCLOSE 20-60 x 60 mm – 45° Longue Vue :

Celestron C-52223 – UPCLOSE 20-60 x 60 mm – 45° Longue Vue
Conception optiquePorro
Type de prismeK9
Grossissement Zoom min.20
Grossissement Zoom max.60
Diamètre de l’objectif (miroir/lentille)60 mm
Champ de vision à 1000 m43.7 – 22.7 m/1000 m

– 43.7 m (à un grossissement de 20x)
– 22.7 m (à un grossissement de 60x)
Champ de vision (degrés)2.5° – 1.3°

– 2.5° (à un grossissement de 25x)
– 1.3° (à un grossissement de 75x)
Distance minimale de mise au point8.8 m (à un grossissement de 20x)
Type de traitement des lentillesEntièrement multi-traitées (FMC)
Le relief de sortieNon spécifié
Dégagement oculaire / écart de soulagement des yeux15 – 11 mm

– 15 mm (à un grossissement de 20x)
– 11 mm (à un grossissement de 60x)
Diamètre de la pupille de sortie3 – 1 mm

– 3 mm (à un grossissement de 20x)
– 1 mm (à un grossissement de 60x)
Diamètre de l’oculaire15 mm
Système de mise au point / type de focusMise au point simple par rotation de la bague de mise au point
Distance focale420 mm
Inclinaison de l’oculaire45°
Intensité lumineuse9,0 – 1,0
Indice crépusculaire36,6 – -60
ŒilletonŒilleton avec oculaire zoom rotatif en caoutchouc souple
DimensionsLongueur x Largeur x Hauteur : 34.2 x 7 x 11 cm
Poids net569 g
Pare-soleilNon
Chiffon de nettoyageOui 1x
Manuel de l’utilisateurOui 1x
Sac de transportOui 1x
Couvercle d’objectif inclusOui 1x
Cache oculaire inclusOui 1x
Trépied inclusOui 1x, trépied en métal et aluminium
Adaptateur smartphone (digiscoping) inclusNon
Étui rigide inclusOui en aluminium, avec un trousseau de 2 clés et une bandoulière
Capacité de résistanceÉtanche à l’eau, résistant à l’eau, imperméable.
(remplie de gaz inerte)
Matériau du boîtier / revêtement du boîtierPrincipalement fabriqué en aluminium léger et durable avec joint torique scellé pour réduire les dommages causés par la moisissure et l’humidité.
Revêtement en caoutchouc et plastique notamment pour l’œilleton et le pare-soleil.
Rempli d’azote
Stabilisation de l’imageNon
Fonction Wi-FiNon
Durée de la garantie2 ans

Garantie à vie si l’utilisateur réside aux Etats-Unis ou au Canada

La conception optique Porro

La conception optique de Porro est une configuration de prisme utilisée pour redresser l’image et la rendre droite de façon à la renvoyer vers l’oculaire. Elle doit son nom à Ignazio Porro, un opticien italien du XIX e siècle qui a inventé cette configuration optique.

Elle se compose de deux prismes droits de forme trapézoïdale qui sont disposés en angle l’un par rapport à l’autre. Lorsque la lumière entre dans l’objectif, elle traverse la lentille de l’objectif et entre dans le premier prisme. Le premier prisme réfléchit la lumière et la dévie à un angle droit, puis la lumière traverse le second prisme qui le réfléchit à nouveau vers l’oculaire.

Le prisme Porro est conçu pour redresser l’image et la rendre droite, mais inversera l’image gauche-droite. Cependant, cette inversion peut être corrigée en ajoutant des prismes redresseurs supplémentaires à la conception optique.

La conception optique Porro a été largement utilisée dans les jumelles pendant de nombreuses années en raison de sa qualité optique et de sa construction simple. Bien que la conception soit plus volumineuse que les jumelles à prismes en toit, elle offre une meilleure qualité d’image à un prix plus abordable.

Le matériau de prisme BK7, BaK4, K9

Le BK7 fait référence à un type de prisme utilisé dans les instruments d’optique tels que les jumelles et les télescopes. Le BK7 est fabriqué à partir de borosilicate de baryum et a une densité de 2,45 g/cm3, il est composé également de silicate de baryum et d’autres éléments tels que le bore et l’aluminium.

Les prismes en BK7 sont considérés comme étant de qualité inférieure aux prismes en BaK4 en raison de leur indice de réfraction plus bas et de leur tendance à produire des images moins lumineuses et plus sombres, tandis que les prismes BaK4 sont considérés comme étant de qualité supérieure aux prismes BK7, car ils sont plus denses et plus purs, ce qui permet une transmission de la lumière plus efficace.

Le BK7 est un verre choisi pour sa densité et sa clarté optique, qui permettent une réfraction de la lumière plus efficace. Les prismes BK7 sont souvent utilisés comme une alternative moins coûteuse aux prismes BaK4, au verre de fluorite (CaF2) ou au verre de lanthane (LaK9) qui sont des matériaux plus coûteux mais offrent des performances optiques encore meilleures. Toutefois, les télescopes et autres instruments d’optique qui utilisent des prismes BK7 peuvent fournir des images de qualité supérieure à celles qui utilisent d’autres matériaux moins performants.

Le BaK4 fait référence à un type de prisme utilisé dans les instruments d’optique tels que les jumelles et les télescopes. Il est composé principalement de borosilicate de baryum, d’où le nom BaK4 (Barium K). Concernant ses caractéristiques particulières, le BaK4 est un matériau en verre optique spécialement formulé pour avoir des propriétés optiques supérieures, telles qu’une grande transmission de la lumière, une faible dispersion chromatique et une résistance élevée aux chocs et à l’abrasion. En raison de ses excellentes propriétés optiques et physiques, le BaK4 est considéré comme l’un des meilleurs types de verre pour les prismes optiques utilisés dans les instruments d’optique.

Avec une densité plus élevée que les autres matériaux de prismes couramment utilisés, comme le BK7, le BaK4 permet que les ondes lumineuses sont moins susceptibles de se diffracter lorsqu’elles passent à travers le prisme, ce qui se traduit par une meilleure résolution, une meilleure netteté et une meilleure luminosité de l’image. Le BaK4 est également connu pour sa capacité à transmettre la lumière à un angle plus large, ce qui se traduit par un champ de vision plus large et plus clair.

Cependant, le BaK4 est également plus coûteux que les autres matériaux de prismes, ce qui peut rendre les instruments optiques équipés de ce matériau plus chers. En outre, la qualité du BaK4 peut varier selon la méthode de fabrication, de sorte que tous les prismes BaK4 ne sont pas nécessairement de qualité supérieure.

K9 est un type de verre optique couramment utilisé dans la fabrication de prismes pour les instruments optiques tels que les télescopes. Ce verre a une composition chimique spécifique avec une haute teneur en oxyde de silicium et en oxydes de borate, qui lui confère des propriétés optiques uniques. Le K9 est souvent considéré comme un choix de qualité supérieure par rapport au BK7 et au BaK4 en raison de ses propriétés optiques uniques, notamment sa faible dispersion chromatique et sa grande résistance à l’abrasion. Cependant, le verre K9 peut également être plus coûteux que le BK7 et le BaK4, ce qui peut influencer le choix du type de verre pour certaines applications.

En fin de compte, le choix entre le verre K9, le BK7 et le BAK4 dépendra des exigences optiques spécifiques de l’instrument optique, ainsi que du budget et des préférences du fabricant ou de l’utilisateur final.

Le grossissement Zoom min. et grossissement Zoom max.

Le grossissement zoom min. et max. se réfèrent aux valeurs minimales et maximales du grossissement d’un instrument optique tel qu’un télescope doté d’une fonction de zoom. Le grossissement zoom est le rapport entre la taille apparente de l’image vue à travers l’instrument optique et la taille réelle de l’objet observé.

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Le diamètre de l’objectif

Le diamètre de l’objectif d’un télescope correspond au diamètre de l’ouverture à l’avant du tube optique. Il détermine la quantité de lumière qui peut entrer dans le télescope et atteindre l’oculaire. Plus le diamètre est grand, plus le télescope peut collecter de lumière, ce qui permet d’observer des objets plus faibles ou plus lointains avec plus de détails et de clarté.

Les avantages d’un grand diamètre de l’objectif d’un télescope sont les suivants :

  • – Une meilleure résolution : un télescope avec un grand diamètre d’objectif peut fournir des images plus nettes et plus détaillées, ce qui permet d’observer des détails fins et des structures subtiles des objets astronomiques.
  • – Une meilleure luminosité : un grand diamètre d’objectif permet au télescope de collecter plus de lumière, ce qui permet de voir des objets plus faibles ou plus éloignés avec une plus grande clarté.
  • – Une meilleure qualité d’image : un grand diamètre d’objectif permet de réduire les aberrations optiques, ce qui peut améliorer la qualité de l’image.

Cependant, les télescopes avec un grand diamètre d’objectif ont également quelques inconvénients :

  • – Ils sont plus chers : les télescopes avec un grand diamètre d’objectif sont souvent plus coûteux, car la fabrication d’un objectif de grande taille est plus complexe et plus coûteuse.
  • – Ils sont plus volumineux et plus lourds : les télescopes avec un grand diamètre d’objectif sont souvent plus volumineux et plus lourds, ce qui peut rendre leur transport et leur stockage plus difficiles.
  • – Ils ont besoin d’un temps d’acclimatation plus long : les télescopes avec un grand diamètre d’objectif nécessitent souvent plus de temps pour atteindre la température ambiante, ce qui peut affecter la qualité de l’image si le télescope n’a pas été correctement acclimaté.
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Le champ de vision à 1000 m (en mètre ou en degré)

Le champ de vision à 1000 mètres, également appelé champ de vision angulaire, est une mesure de la largeur du champ de vision d’un instrument optique tel qu’un télescope. Il représente l’angle visible de l’horizon gauche à l’horizon droit lorsque vous regardez à travers le télescope.

Le champ de vision à 1000 mètres est généralement exprimé en degrés, mais il peut également être exprimé en mètres ou en pieds. Ainsi, un champ de vision de 7 degrés signifie que vous pouvez voir un angle de 7 degrés d’horizon lorsque vous regardez à travers le télescope. Plus le champ de vision est grand, plus vous pouvez voir d’objets à la fois, ce qui peut être utile lors de l’observation d’oiseaux, de paysages, de spectacles sportifs, ou d’autres activités.

Il est important de noter que le champ de vision à 1000 mètres peut varier en fonction de la puissance et des caractéristiques du télescope. Les instruments optiques avec une puissance plus élevée peuvent avoir un champ de vision plus étroit, tandis que ceux avec une puissance plus faible peuvent avoir un champ de vision plus large. Il est donc important de prendre en compte la puissance du télescope lors de l’interprétation du champ de vision à 1000 mètres. Un champ de vision plus large permet d’observer une zone plus grande, tandis qu’un champ de vision plus étroit permet de se concentrer sur des détails plus précis.

Le champ de vision du télescope Celestron C-52223 – UPCLOSE 20-60 x 60 mm – 45° Longue Vue exprimé en mètres est de : 43.7 – 22.7 m/1000 m.

La première valeur correspond au champ de vision à faible grossissement, tandis que la seconde correspond au champ de vision à fort grossissement.

La distance minimale de mise au point

La distance minimale de mise au point est la distance la plus courte à laquelle un objectif, qu’il s’agisse d’un appareil photo, d’une paire de jumelles ou d’un télescope, peut être rapproché d’un sujet tout en étant capable de fournir une image nette et précise. C’est donc la distance la plus proche à laquelle vous pouvez rapprocher un objet de l’oculaire tout en maintenant la mise au point.

La distance minimale de mise au point varie d’un objectif à l’autre et dépend de la conception, de la distance focale, de la puissance de l’objectif et de la qualité de l’objectif. Les objectifs de qualité supérieure ont souvent une distance minimale de mise au point plus courte, ce qui leur permet de prendre des photos ou des observations détaillées d’objets proches tels que des fleurs ou des insectes.

Il est également important de noter que la distance de mise au point proche peut être affectée par l’utilisation de lentilles de grossissement supplémentaires ou des filtres, ce qui peut rendre plus difficile la mise au point sur des objets proches.

Le revêtement de lentille

Le revêtement de lentille sur un télescope monoculaire se réfère à la couche de revêtement appliquée sur la surface des lentilles pour améliorer leur performance optique. Cette couche est généralement composée d’une fine couche de produits chimiques qui sont appliqués sur les surfaces des lentilles pour réduire la réflexion de la lumière et augmenter la transmission de la lumière.

Le revêtement de lentille permet d’obtenir des images plus nettes et plus claires, avec une meilleure luminosité et un meilleur contraste, en réduisant la réflexion de la lumière qui peut causer des reflets et des pertes de lumière. En outre, le revêtement de lentille peut également aider à protéger les lentilles contre les rayures et les dommages causés par l’exposition à l’environnement extérieur.

Il existe plusieurs types de revêtements de lentilles disponibles sur les télescopes monoculaires, notamment le revêtement monocouche, le revêtement multicouche (MC) et le revêtement entièrement multicouche (FMC) :

  • – Le revêtement monocouche est le plus basique et consiste en une seule couche de revêtement appliquée sur la surface des lentilles.
  • – Le revêtement de lentille MC est une abréviation pour « Multi-Coated » en anglais, qui signifie « multi-couches » en français. Ce revêtement consiste en plusieurs couches de revêtement appliquées sur les surfaces de la lentille généralement en utilisant des techniques de dépôt physique en phase vapeur. Ces couches de revêtement minces et transparentes peuvent être composées de différents matériaux, tels que le fluorure de magnésium, le dioxyde de silicium ou le nitrure de titane. Le revêtement MC permet de réduire les réflexions indésirables à la surface de la lentille, ce qui améliore la transmission de la lumière à travers l’objectif. Cela se traduit par une meilleure résolution, un contraste accru et des couleurs plus précises dans les images produites par l’objectif.
  • – Enfin, le revêtement entièrement multicouche (FMC pour Fully Multi-Coated) est l’une des technologies de traitement de surface la plus avancée. Les lentilles entièrement multi-traitées ont une couche de revêtement mince sur toutes les surfaces optiques de la lentille, ce qui signifie que chaque surface a été traitée pour maximiser la qualité optique et permettre ainsi d’obtenir une transmission de lumière maximale et une qualité d’image optimale tout en réduisant les reflets indésirables.
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Le relief de sortie

Le relief de sortie d’un télescope est la distance entre la lentille de sortie de l’oculaire et l’œil de l’observateur, à l’endroit où l’image observée est la plus nette. En d’autres termes, c’est la distance entre l’oculaire et l’œil de l’observateur qui permet de voir une image complète de l’objet observé, sans qu’aucune partie de l’image ne soit coupée.

Un relief de sortie plus grand signifie que l’œil peut être placé plus loin de l’oculaire tout en obtenant une image complète. Cela peut être bénéfique pour les personnes portant des lunettes, car elles peuvent avoir plus d’espace entre leurs yeux et l’oculaire pour accommoder leurs verres.

De plus, un relief de sortie plus grand peut être utile lors de l’utilisation de télescopes avec des oculaires à grand champ de vision. Dans ces cas, le relief de sortie permet de positionner l’œil à une distance optimale de l’oculaire pour obtenir une vue claire et nette de l’image.

Cependant, il est important de noter que le relief de sortie ne doit pas être trop grand, car cela pourrait affecter la luminosité de l’image observée. Si le relief de sortie est trop grand, une partie de la lumière provenant de l’objet sera perdue avant d’atteindre l’œil, ce qui réduit la luminosité de l’image observée. Par conséquent, un compromis doit être trouvé pour obtenir un bon équilibre entre le confort de l’utilisateur et la qualité de l’image observée.

Le dégagement oculaire / écart de soulagement des yeux

Le dégagement oculaire, également appelé écart de soulagement des yeux, est une mesure similaire mais légèrement différente. Il s’agit de la distance minimale requise entre l’œil de l’observateur et l’oculaire pour voir une image complète sans qu’aucune partie de l’image ne soit coupée. Le dégagement oculaire est important pour les observateurs portant des lunettes car il permet de voir l’image complète tout en portant les lunettes.

En résumé, le relief de sortie et le dégagement oculaire sont deux mesures différentes mais liées à la distance requise entre l’oculaire et l’œil de l’observateur pour voir une image complète sans qu’aucune partie de l’image ne soit coupée.

Le diamètre de la pupille de sortie et l’élève de sortie

La pupille de sortie et l’élève de sortie sont des termes qui sont souvent utilisés de manière interchangeable pour décrire une caractéristique importante d’un télescope. Cependant, il y a une différence subtile entre les deux termes.

La pupille de sortie d’un télescope est le faisceau de lumière qui sort de l’oculaire après avoir été collecté et focalisé par l’objectif du télescope. En d’autres termes, c’est le point où la lumière sort du télescope et est disponible pour être observée ou capturée par un appareil photo.

L’élève de sortie, quant à elle, est la taille de la pupille de sortie en termes de diamètre. Plus précisément, c’est la taille de l’image virtuelle de l’objectif du télescope vue à travers l’oculaire ou l’adaptateur photo. L’élève de sortie détermine la quantité de lumière qui est disponible pour entrer dans l’œil de l’observateur ou l’appareil photo, et donc la luminosité et la qualité de l’image observée.

En résumé, la pupille de sortie est l’emplacement où la lumière sort du télescope, tandis que l’élève de sortie est la taille de l’image virtuelle vue à travers l’oculaire ou l’adaptateur photo.

Pour une observation confortable et efficace, la taille de la pupille de sortie doit être adaptée à la taille de la pupille de l’œil humain qui est généralement comprise entre 2 et 8 mm, elle varie en fonction de l’âge et des conditions d’éclairage. Lorsque la pupille de sortie est plus petite que la pupille de l’œil, une partie de la lumière n’atteindra pas l’œil, ce qui réduira la luminosité perçue et rendra l’observation plus difficile dans des conditions de faible luminosité. D’un autre côté, lorsque la pupille de sortie est plus grande que la pupille de l’œil, une partie de la lumière ne sera pas utilisée par l’œil, ce qui gaspillera de la lumière et réduira la qualité de l’image. En général, la taille de la pupille de sortie idéale pour une observation confortable et efficace est d’environ 1 à 1,5 fois la taille de la pupille de l’œil.

Le diamètre de l’oculaire

Le diamètre de l’oculaire d’un télescope fait référence à la taille de l’ouverture de l’oculaire par laquelle la lumière pénètre dans l’œil de l’observateur. Cette taille est généralement mesurée en millimètres et dépend de la conception optique de l’oculaire lui-même. Le diamètre de l’ouverture de l’oculaire peut avoir un impact sur la qualité de l’image observée, car il détermine la quantité de lumière qui peut atteindre l’œil de l’observateur. Il est important de noter que le diamètre intérieur de l’oculaire, par lequel on regarde pour observer les objets est généralement plus petit que le diamètre de l’ouverture de l’oculaire. Cela est dû à la conception optique de l’oculaire qui permet de concentrer la lumière sur un petit point pour améliorer la qualité de l’image observée.

Le système de mise au point « focalisation simple »

Le système de mise au point « focalisation simple » est un type de système de mise au point utilisé dans les instruments optiques tels que les jumelles, les télescopes ou les appareils photo. Contrairement aux systèmes de mise au point plus sophistiqués, qui utilisent une série de lentilles ou de roues dentées pour ajuster la distance focale, le système de mise au point simple utilise une seule lentille pour régler la distance focale.

La lentille de mise au point unique est déplacée dans l’axe optique de l’instrument pour ajuster la netteté de l’image. Dans certains cas, la lentille est déplacée manuellement par rotation ou glissement, tandis que dans d’autres, elle est déplacée automatiquement par un moteur électrique ou un mécanisme d’entraînement.

Le système de mise au point simple a l’avantage d’être simple et facile à utiliser, ce qui en fait un choix populaire pour les télescopes grand public. Il est également souvent plus léger et plus compact que les systèmes de mise au point plus sophistiqués, ce qui en fait un choix idéal pour les instruments portables et les voyages.

Cependant, le système de mise au point simple a également quelques inconvénients. Par exemple, il peut être plus difficile d’obtenir une mise au point précise et fine sur des sujets très proches ou très éloignés. De plus, il peut être plus difficile de maintenir la mise au point sur des objets en mouvement, car la distance focale doit être ajustée manuellement en permanence.

Le télescope Celestron C-52223 – UPCLOSE 20-60 x 60 mm – 45° Longue Vue fonctionne avec un système de mise au point simple par rotation de la bague de mise au point.

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L’inclinaison de l’oculaire

L’inclinaison de l’oculaire sur un télescope se réfère à l’angle de l’oculaire par rapport à l’axe optique du télescope. Cela signifie que l’oculaire n’est pas aligné directement avec le tube optique du télescope, mais est incliné à un certain angle. L’inclinaison peut être fixe ou réglable.

L’inclinaison de l’oculaire est généralement utilisée pour des raisons ergonomiques, afin de permettre à l’utilisateur de regarder confortablement à travers l’oculaire sans avoir à se pencher vers le télescope ou à se tordre le cou.

L’inclinaison de l’oculaire peut être exprimée en degrés ou en pourcentage, et elle est souvent mesurée par rapport à l’horizontale. Elle peut varier selon les différents modèles de télescopes et les différents types d’oculaires. Certaines optiques permettent également de faire pivoter l’oculaire dans le tube optique pour permettre une vision en mode paysage ou portrait, indépendamment de l’inclinaison de l’oculaire.

L’intensité lumineuse

L’intensité lumineuse sur un télescope est une mesure de la luminosité relative d’un objet observé à travers le télescope. L’intensité lumineuse dépend de la quantité de lumière captée par le télescope et de la qualité de la transmission de la lumière à travers les lentilles ou les miroirs du télescope, le grossissement utilisé, les conditions de luminosité et la taille de la pupille de l’observateur. L’intensité lumineuse de télescopes n’est généralement pas mesurée ou spécifiée de manière standardisée.

L’intensité lumineuse est souvent exprimée en termes de magnitude, une échelle logarithmique inversée qui mesure la luminosité des objets astronomiques. Les objets astronomiques les plus brillants ont une magnitude faible (comme le Soleil qui a une magnitude d’environ -27), tandis que les objets plus faibles ont une magnitude plus élevée. Par exemple, une étoile avec une magnitude de 6 est considérée comme visible à l’œil nu dans un ciel sombre, tandis qu’une étoile avec une magnitude de 12 nécessite un télescope pour être observée.

Le calcul de l’intensité lumineuse dépend de plusieurs facteurs, tels que le diamètre de l’objectif, la qualité optique du télescope et les caractéristiques de l’objet observé. Les télescopes avec de plus grandes ouvertures ont généralement une intensité lumineuse plus élevée, car ils sont capables de collecter plus de lumière. Cela permettra donc une meilleure observation dans des conditions de faible luminosité. Les télescopes avec des optiques de haute qualité, comme celles qui utilisent des revêtements optiques pour réduire la réflexion et améliorer la transmission de la lumière, peuvent également offrir une meilleure luminosité et une meilleure qualité d’image.

L’indice crépusculaire

L’indice crépusculaire est une mesure de la capacité d’un télescope à collecter la lumière en conditions de faible luminosité, telles que le crépuscule ou l’aube. Il dépend de divers facteurs tels que la taille de l’objectif, la qualité de la lentille, le traitement optique, etc.

L’indice crépusculaire est généralement exprimé en millimètres et correspond au diamètre de l’objectif du télescope multiplié par un coefficient spécifique compris généralement entre 1 et 2. Le coefficient est choisi en fonction de la qualité de l’optique, du contraste et de la transmission de la lumière de l’instrument.

L’indice crépusculaire peut être utilisé pour déterminer la qualité de vision nocturne d’un télescope. Un télescope avec un indice crépusculaire plus élevé sera en mesure de collecter plus de lumière et de fournir une image plus lumineuse et plus nette dans des conditions de faible luminosité.

Il est important de noter que l’indice crépusculaire ne mesure pas la puissance de grossissement ou la qualité de l’image d’un télescope, mais plutôt sa capacité à collecter la lumière en conditions de faible luminosité.

L’œilleton

L’œilleton sur un télescope est l’élément optique situé à l’extrémité de l’oculaire, qui permet à l’observateur de voir l’image agrandie de l’objet observé. L’œilleton est la partie de l’oculaire qui est directement placée contre l’œil de l’observateur.

Les œilletons peuvent avoir différentes formes et tailles en fonction du type d’oculaire et de l’application spécifique du télescope. Il existe également différents types d’oculaires à design fixe tels quel : Huygens, Ramsden, Kellner et Plossl, ils sont utilisés dans des télescopes à oculaires interchangeables pour offrir différents grossissements et des champs de vision différents, ils ont chacun leurs avantages et leurs inconvénients en termes de qualité d’image, de champ de vision et de coût.

Le télescope Celestron C-52223 – UPCLOSE 20-60 x 60 mm – 45° Longue Vue n’utilise pas un oculaire à design fixe, il est équipé d’un oculaire zoom rotatif en caoutchouc souple/torsadé. L’oculaire zoom permet à l’utilisateur de faire varier le grossissement en faisant coulisser l’oculaire le long du corps du télescope.

L’intérêt du gaz inerte

Le gaz inerte dans un télescope, composé généralement d’azote ou d’argon, est utilisé pour remplir l’intérieur du corps optique. Cette technique est souvent utilisée pour éviter que de l’humidité et de la poussière ne s’accumulent à l’intérieur du télescope, ce qui peut affecter la qualité de l’image et endommager les éléments optiques.

L’utilisation de gaz inerte dans le télescope permet également de minimiser la formation de buée sur les surfaces optiques en évitant les changements de température et la formation de condensation à l’intérieur du télescope. Cela peut être particulièrement important pour les télescopes utilisés dans des environnements humides ou froids.

Le corps optique du télescope monoculaire Celestron C-52223 – UPCLOSE 20-60 x 60 mm – 45° Longue Vue est équipé de gaz inerte.

Les avantages et les inconvénients d’un pare-soleil sur un télescope monoculaire

Le pare-soleil est un accessoire optionnel que l’on peut ajouter à un télescope monoculaire pour réduire les réflexions de la lumière parasite et améliorer la qualité de l’image. Voici les avantages et les inconvénients d’un pare-soleil sur un télescope monoculaire :

Avantages :

  • Réduit les reflets indésirables et les effets de flare qui peuvent nuire à la qualité de l’image en bloquant la lumière parasite qui peut entrer dans le système optique du télescope.
  • Améliore le contraste et la netteté des images en réduisant la lumière diffuse qui peut réduire la clarté et la définition de l’image.

Inconvénients :

  • Peut ajouter du poids et de la longueur au télescope, ce qui peut rendre le télescope monoculaire plus difficile à manipuler et à transporter.
  • Peut bloquer une partie du champ de vision, en particulier lorsqu’il est utilisé avec des oculaires à faible puissance ou des oculaires grand angle.
  • Peut augmenter le coût total du télescope monoculaire, en particulier si le pare-soleil est vendu séparément et doit être acheté en plus du télescope.

En résumé, un pare-soleil peut être utile pour améliorer la qualité de l’image d’un télescope monoculaire, mais il est important de considérer les avantages et les inconvénients avant de décider si c’est un accessoire dont vous avez besoin.

Le télescope Celestron C-52223 – UPCLOSE 20-60 x 60 mm – 45° Longue Vue n’est pas équipé d’un pare-soleil rétractable.

Le type de matériau utilisé

Généralement, les boîtiers des télescopes sont en aluminium, en plastique renforcé de fibres de verre ou en alliage de magnésium.

Les principaux matériaux utilisés dans la construction de télescopes sont les suivants :

  1. Le verre optique : Le verre optique est l’un des matériaux les plus couramment utilisés pour les lentilles et les miroirs de télescopes. Les lentilles en verre sont utilisées dans les télescopes réfracteurs, tandis que les miroirs en verre sont utilisés dans les télescopes réflecteurs.
  2. L’aluminium : L’aluminium est un matériau couramment utilisé pour les cadres de télescopes, les trépieds et les accessoires, car il est léger et résistant à la corrosion.
  3. Le carbone : Le carbone est un matériau utilisé dans les télescopes modernes en raison de sa légèreté et de sa résistance. Les télescopes en carbone sont plus coûteux que les télescopes en aluminium, mais ils sont plus légers et plus résistants.
  4. Le plastique : Le plastique est souvent utilisé pour les composants internes des télescopes, tels que les porte-oculaires et les systèmes de mise au point.
  5. Le titane : Le titane est un matériau utilisé pour les composants de télescopes qui nécessitent une grande résistance, tels que les boulons et les attaches.

Le télescope Celestron C-52223 – UPCLOSE 20-60 x 60 mm – 45° Longue Vue est principalement fabriqué en aluminium léger et durable avec un revêtement en caoutchouc et plastique notamment pour l’œilleton.

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Le digiscoping

Le digiscoping est une technique de photographie en utilisant un appareil photo numérique ou un smartphone pour prendre des photos à travers un instrument d’optique tel qu’un télescope. Cette technique permet de capturer des images d’objets éloignés avec une grande précision et une qualité d’image élevée.

Pour pratiquer le digiscoping, il faut connecter l’appareil photo numérique ou le smartphone à l’oculaire de l’instrument d’optique à l’aide d’un adaptateur spécial. L’adaptateur est conçu pour maintenir l’appareil photo ou le smartphone en place devant l’oculaire et aligné avec l’axe optique du télescope ou des jumelles. Ensuite, l’utilisateur peut régler la mise au point et la distance focale de l’instrument d’optique pour obtenir l’image souhaitée.

Le digiscoping est populaire auprès des ornithologues, des chasseurs, des astronomes amateurs et de toute personne intéressée par la photographie de la nature ou de l’espace. Cette technique permet également de prendre des photos à distance de sujets difficiles à atteindre ou à observer de près, comme les oiseaux dans les arbres, les animaux sauvages dans leur habitat naturel ou les planètes et les étoiles dans le ciel nocturne.

Les avantages du digiscoping incluent la facilité d’utilisation, la portabilité et la flexibilité. Les utilisateurs peuvent utiliser leur propre équipement comme leur smartphone, sans avoir à investir dans un équipement photo professionnel coûteux. Les inconvénients comprennent la nécessité d’un bon éclairage et d’une stabilité de l’appareil pour éviter les flous de bougé, ainsi que la difficulté de suivre des sujets mobiles en mouvement.

Le télescope Celestron C-52223 – UPCLOSE 20-60 x 60 mm – 45° n’est pas équipé d’un adaptateur pour smartphone pour permettre la pratique du digiscoping.

Nous vous recommandons de vous équiper de cet adaptateur smartphone, non seulement il est compatible avec le télescope Celestron C-52223 – UPCLOSE 20-60 x 60 mm, mais également avec le Bresser Pirsch 25-75 x 100 mm, le GoSky 20-60 x 80 mm et le SVBONY SV28 25-75 x 70 mm. Certes, son prix est onéreux mais il est extrêmement précis et à la fois d’une grande facilité pour le réglage.

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Le trepied

Un trépied est un outil essentiel pour les photographes et les vidéastes qui souhaitent stabiliser leur appareil photo ou leur caméra pour capturer des images ou des vidéos nettes et sans flou de mouvement.

Le trépied du Celestron C-52223 – UPCLOSE 20-60 x 60 mm – 45° Longue Vue est un support de qualité fabriqué en métal, aluminium et en plastique pour l’observation à longue portée. Il est composé d’une molette de serrage et d’une tête pivotante à 360 degrés ainsi que d’une plaque de fixation pour une installation facile et rapide. Le trépied peut supporter une charge maximale de 3 kg et est compatible avec les jumelles, les télescopes et les caméras avec un adaptateur approprié. Les avantages du trépied Celestron incluent sa légèreté et sa portabilité, ce qui en fait un excellent choix pour les voyages et les randonnées. Toutefois, certains utilisateurs pourront lui reprocher sa petite taille ce qui nécessite de se baisser pour pouvoir profiter de la stabilité de l’image à travers le télescope.

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Test et conclusion

Le Celestron C-52223 – UPCLOSE 20-60 x 60 mm – 45° Longue Vue est un choix populaire pour l’observation à longue portée. Lors de nos tests, nous avons trouvé que la lentille d’objectif de 60 mm offre une qualité de l’image nette et claire, une bonne luminosité bien qu’un peu atténuée, avec une bonne résolution des détails même à des distances éloignées ainsi qu’une bonne dispersion chromatique. Le grossissement variable de 20x à 60x est facile à ajuster mais la focalisation n’est pas extrêmement précise. La constitution du télescope le rend solide et durable, l’œilleton en caoutchouc souple est agréable au toucher. Le télescope est ultra léger, peu encombrant, nous apprécions tout particulièrement la mallette de transport pour une protection maximum du télescope. Le trépied, bien qu’un peu court, est plutôt stable et confortable ; nous regrettons toutefois l’absence d’un adaptateur smartphone dans le package d’origine pour la pratique du digiscoping, par contre celui recommandé par Celestron est d’une excellente précision et facile à retirer. Dans l’ensemble, le télescope Celestron C-52223 – UPCLOSE 20-60 x 60 mm – 45° Longue Vue est un choix solide pour les amateurs d’observation à longue portée qui cherchent à obtenir des images de qualité et une grande flexibilité dans différents environnements.

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Celestron C-52223 – UPCLOSE 20-60 x 60 mm – 45° Longue Vue – distance originale
Celestron C-52223 – UPCLOSE 20-60 x 60 mm – 45° Longue Vue – Zomm 25x
Celestron C-52223 – UPCLOSE 20-60 x 60 mm – 45° Longue Vue – Zoom 40x
Celestron C-52223 – UPCLOSE 20-60 x 60 mm – 45° Longue Vue – Zoom 60x

Points forts

  • – Bonne qualité du verre (K9)
  • – Bonne qualité de l’image et bonne dispersion chromatique
  • – Léger
  • – Trépied inclus
  • – Présence des spécifications techniques
  • – Excellent adaptateur smartphone (en option)

Points faibles

  • – Pas d’adaptateur smartphone
  • – Pas de pare-soleil rétractable
  • – Hauteur du trépied trop basse
  • – Focalisation pas suffisamment précise

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